Très souvent, des gens me contactent par mail ou par téléphone parce qu'ils ont des gros problèmes d'angoisse et qu'ils se sont souvent pris la tête pour savoir si effectivement ils pouvaient arriver à vaincre l’angoisse avec son cortège de symptômes, les crises d'angoisses, voire les crises de panique.
Ce qu'il se passe, c'est que la plupart du temps, dans une espèce de logique humaine et émotionnelle qui voudrait que l'angoisse puisse être vaincue sans coup férir alors que l'on a toutes les peines du monde à la contrôler.
En étant dans un comportement de contrôle, on oublie que, stratégiquement, c'est le pire des remèdes et que c’est précisément ce que je vais essayer de vous expliquer aujourd'hui.
En voulant éliminer l'angoisse, et en ne se préoccupant que de cet objectif, nous avons tôt fait d'oublier l'essentiel.
Si vous vous trompez d'objectif, ce serait comme d'envisager de prendre la route pour se rendre de Paris à Marseille en ne se préoccupant que d'arriver au plus vite, alors que ni l'huile, ni l'eau, ni la pression des pneus, et encore moins le plein d'essence n’ont été vérifiés.
Autant dire qu’on ne fait rien pour que ce voyage se passe bien. Par conséquent, vaincre l'angoisse sans gérer les symptômes, c'est la même chose.
Comment vaincre l'angoisse d'une façon étonnante ?
Avant tout, il est important d'identifier les moments d'angoisse, c'est-à-dire dans quels contextes et dans quels environnements on est confronté à cette même angoisse.
Est-ce dans un cadre professionnel, dans un cadre social, dans un cadre affectif, sentimental, que sais-je encore ?
Afin d'arriver à comprendre ça, il faut tenir
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